terça-feira, 5 de outubro de 2010

Nada se pierde

Sería estupendo que fuese cierto.

3 comentários:

  1. Anônimo18:33

    el qué? Que cada uno da lo que recibe, y recibe lo que da? O que nada se pierde y todo se transforma?.
    Yo creo que ambas.
    Bicos.
    LLS.

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  2. Es una canción preciosa. A mí me encantó desde el primer día que la escuché.

    Tu beso se hizo calor,
    luego el calor, movimiento,
    luego gota de sudor
    que se hizo vapor, luego viento
    que en un rincón de La Rioja
    movió el aspa de un molino
    mientras se pisaba el vino
    que bebió tu boca roja.

    Tu boca roja en la mía,
    la copa que gira en mi mano,
    y mientras el vino caía
    supe que de algún lejano
    rincón de otra galaxia,
    el amor que me darías,
    transformado, volvería
    un día a darte las gracias.

    Cada uno da lo que recibe
    y luego recibe lo que da,
    nada es más simple,
    no hay otra norma:
    nada se pierde,
    todo se transforma.

    El vino que pagué yo,
    con aquel euro italiano
    que había estado en un vagón
    antes de estar en mi mano,
    y antes de eso en Torino,
    y antes de Torino, en Prato,
    donde hicieron mi zapato
    sobre el que caería el vino.

    Zapato que en unas horas
    buscaré bajo tu cama
    con las luces de la aurora,
    junto a tus sandalias planas
    que compraste aquella vez
    en Salvador de Bahía,
    donde a otro diste el amor
    que hoy yo te devolvería......

    Cada uno da lo que recibe
    y luego recibe lo que da,
    nada es más simple,
    no hay otra norma:
    nada se pierde,
    todo se transforma.

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  3. Anônimo11:43

    C'est une chanson précieuse. J'ai été enchanté depuis le premier jour que je l'ai écoutée.

    Ton baiser se a fait une chaleur,
    tout de suite la chaleur, un mouvement,
    tout de suite une goutte de sueur
    qui se a fait une vapeur, tout de suite un vent
    que dans un coin de la La Rioja
    il a mû le dévidoir d'un moulin
    en attendant le vin était marché
    qui a bu ta bouche rouge.

    Ta bouche rouge dans la mienne,
    la coupe qui tourne à ma main,
    et tandis que le vin tombait
    j'ai su que d'un lointain
    un coin de l'autre galaxie,
    l'amour que tu me donnerais,
    transformé, il reviendrait
    un jour à te remercier.

    Chacun donne ce qu'il reçoit
    et tout de suite il reçoit ce qu'il donne,
    rien n'est plus simple,
    il n'y a pas d'autre norme :
    rien ne perd,
    tout se transforme.

    Le vin que j'ai payé,
    avec cet euro italien
    qui avait été dans un wagon
    avant d'être à ma main,
    et avant ça dans Torino,
    et avant Torino, dans Prato,
    où ils ont fait ma chaussure
    sur que le vin tomberait.
    Une chaussure que qu'à quelques heures
    je chercherai sous ton lit
    avec les lumières de l'aurore,
    près de tes sandales plates
    que tu as acheté cette fois
    au Salvador de Baie,
    où tu as donné l'amour à l'autre
    qu'aujourd'hui je te rendrais ......

    Chacun donne ce qu'il reçoit
    et tout de suite il reçoit ce qu'il donne,
    rien n'est plus simple,
    il n'y a pas d'autre norme :
    rien ne perd,
    tout se transforme.


    Sirwood

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